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Le Café Grandfou
17 octobre 2006

lA CON....FESSE


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Je le con ………………fesse

J’aime les seins, j’aime les fesses,

Oui je vous le dis mon père

Oui quand je vois une paire,

J’ai le regard aspiré et les yeux attirés

Comme s'ils  étaient aimantées,

Ce n’est pas bien, ah bon,

Dites moi mon père pourquoi donc,

Puis ici on ne parle pas que de cul,

Avec rue on parle aussi barbecue,

Mais non mon père

Je me demande qui de nous deux

Est le plus pervers,

Ce n’est pas barbe au cul,

C’est barbecue, pour griller

Comme dans ce lieu que vous appelez En   fer,

Ah bon ce n’est pas en…. fer,

En quoi c’est alors,

Pourtant ce lieu doit être en fer

Puisqu’il est rempli de chaudrons

Pour griller les braves gens,

Qui sortent de l’ordinaire

Qui ne répondent pas aux souhaits de dieu le père

De moi à vous, Satan Grand maître de l’enfer

Doit avoir des actions Partagés avec le saint père,

Ne vous en offusquez pas,

C’est vous-même qui dites

Dieu est amour, Dieu est pardon,

J’ai compris où je suis un con,

Donc vous confirmez,

Alors expliquez moi,

Pourquoi, A-t-il besoin d’envoyer des gens en bas,

S’il les aime vraiment il ne le ferait pas,

Je le confesse, j’aime les fesses,

J’aime les seins, sans être mal saint

Ne me jetez pas ce regard assassin,

J’aime les fesses je le confesse.                                          

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Commentaires
J
Une autre de ce bon Georges que j'aime est la Fessée, rappelez-vous :<br /> <br /> La fessée (Georges Brassens) <br /> <br /> La veuve et l'orphelin, quoi de plus émouvant ?<br /> Un vieux copain d'école étant mort sans enfants,<br /> Abandonnant au monde une épouse épatante,<br /> J'allai rendre visite à la désespérée.<br /> Et puis, ne sachant plus où finir ma soirée,<br /> Je lui tins compagnie dans la chapelle ardente.<br /> <br /> Pour endiguer ses pleurs, pour apaiser ses maux,<br /> Je me mis à blaguer, à sortir des bons mots,<br /> Tous les moyens sont bons au médecin de l'âme...<br /> Bientôt, par la vertu de quelques facéties,<br /> La veuve se tenait les côtes, Dieu merci !<br /> Ainsi que des bossus, tous deux nous rigolâmes.<br /> <br /> Ma pipe dépassait un peu de mon veston.<br /> Aimable, elle m'encouragea : « Bourrez-la donc,<br /> Qu'aucun impératif moral ne vous arrête,<br /> Si mon pauvre mari détestait le tabac,<br /> Maintenant la fumée ne le dérange pas !<br /> Mais où diantre ai-je mis mon porte-cigarettes ? »<br /> <br /> A minuit, d'une voix douce de séraphin,<br /> Elle me demanda si je n'avais pas faim.<br /> « Ça le ferait-il revenir, ajouta-t-elle,<br /> De pousser la piété jusqu'à l'inanition :<br /> Que diriez-vous d'une frugale collation ? »<br /> Et nous fîmes un petit souper aux chandelles.<br /> <br /> « Regardez s'il est beau ! Dirait-on point qu'il dort.<br /> Ce n'est certes pas lui qui me donnerait tort<br /> De noyer mon chagrin dans un flot de champagne. »<br /> Quand nous eûmes vidé le deuxième magnum,<br /> La veuve était émue, nom d'un petit bonhomm' !<br /> Et son esprit se mit à battre la campagne...<br /> <br /> « Mon Dieu, ce que c'est tout de même que de nous ! »<br /> Soupira-t-elle, en s'asseyant sur mes genoux.<br /> Et puis, ayant collé sa lèvre sur ma lèvre,<br /> « Me voilà rassurée, fit-elle, j'avais peur<br /> Que, sous votre moustache en tablier d'sapeur,<br /> Vous ne cachiez coquettement un bec-de-lièvre... »<br /> <br /> Un tablier d'sapeur, ma moustache, pensez !<br /> Cette comparaison méritait la fessée.<br /> Retroussant l'insolente avec nulle tendresse,<br /> Conscient d'accomplir, somme toute, un devoir,<br /> Mais en fermant les yeux pour ne pas trop en voir,<br /> Paf ! j'abattis sur elle une main vengeresse !<br /> <br /> « Aïe ! vous m'avez fêlé le postérieur en deux ! »<br /> Se plaignit-elle, et je baissai le front, piteux,<br /> Craignant avoir frappé de façon trop brutale.<br /> Mais j'appris, par la suite, et j'en fus bien content,<br /> Que cet état de chos's durait depuis longtemps :<br /> Menteuse ! la fêlure était congénitale.<br /> <br /> Quand je levai la main pour la deuxième fois,<br /> Le cœur n'y était plus, j'avais perdu la foi,<br /> Surtout qu'elle s'était enquise, la bougresse :<br /> « Avez-vous remarqué que j'avais un beau cul ?<br /> Et ma main vengeresse est retombée, vaincue!<br /> Et le troisième coup ne fut qu'une caresse...<br /> <br /> Bonne soirée,<br /> j'aime<br /> JM
G
A la demande générale de pensée bleue j'ai publié un texte, moins dans les fesses même si je parle de déesse.<br /> <br /> Alex j'ai finalement trouvé et publé ce texte, car j'aurai moins de temps dans les jours à venir.<br /> <br /> Bibi je n'ai pas eu le temps de préparer une recette de cuisine mais j'y pense
P
un billet, un billet, un billet!<br /> on veut un billet tout nouveau tout beau!<br /> <br /> euh.... bon ok je me rendors...<br /> :-)<br /> <br /> zzzzzzz...Bisous....zzzzz
G
Bonjour Alex,<br /> Si tu peux faire un billet je veux bien, au cas où ça te pose problème, je peux toujours mettre un ancien billet de nos vieux cafés...j'en ai en stock.<br /> <br /> Bibi, je t'envoie plein de soleil en jus, en baisers et en sourires....
A
Je reviens sur la pinte des pieds me servir un un bon-bock de soleil...C'est carrément l'été si ce n'était l'automne....<br /> <br /> Vous passe bien le bonjour...<br /> <br /> Gto : tu fais un billet ? Bibi est en panne d'inspiration ( hi hi hi ) et je suis en panne de connexion...quoique...je peux toujours, peut-être...laisse-moi le message sur le comptoir....
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